Alan s’est lancé en 2016 avec la volonté de révolutionner l’assurance santé. Nous avons obtenu notre agrément d’assureur en moins d’un an auprès de l’ACPR, et cinq ans après, nous comptons 180 000 assurés et continuons à croître de 100% par an.
Plus largement, la mission qu’Alan s’est donnée est de réunir le meilleur de la technologie et de l'humain pour que la santé soit un multiplicateur, et non plus une charge mentale supplémentaire au quotidien. En devenant la super-app de santé qui permet de prendre soin de soi et de ceux qu'on aime, de manière plus juste, plus transparente et plus personnalisée. Nous avons lancé Alan Baby pour aider les nouveaux parents dans l’accueil d’un nouvel enfant en début d’année 2021. Et nous lancerons dans les mois qui viennent de nombreux services de santé innovants !
Nous avions avant notre bilan carbone lancé quelques actions. Pour nos membres, nous avons décidé de changer au début de l’année 2020 le matériau de nos cartes tiers-payant du plastique vers le carton, pour les rendre plus facilement recyclables. Pour nos employés, nous offrons un pass mobilité qui leur permet d’utiliser les mobilités douces pour se rendre au travail.
Il y en a plusieurs. Alan est tout d’abord un agent économique qui doit avoir sa place et contribuer à ce vaste challenge. Des entreprises américaines de la tech ont pris des engagements clairs (qu’on espère réalisables…). Et nous pensons au moins que cela a la vertu d’envoyer un bon message.
Ensuite, nous pensons que nous sommes arrivés dans le temps de l’urgence, et qu’il faut commencer à être beaucoup plus ambitieux sur le sujet.
Enfin, agir en faveur de l’environnement est en fait assez en phase avec les valeurs de l’entreprise et sa raison d’être, qui est de faire en sorte que les européens vivent mieux leur santé - et cela passe sûrement par une santé plus respectueuse de l’environnement.
Nous avons découvert Carbo très simplement en benchmarkant les solutions existantes. Cela nous a semblé être un bon trade-off entre le prix, la qualité du service proposé et le suivi.
Je ne sais pas si nous avons été radicalement étonnés. Mais nous avons effectivement désormais une meilleure vision de nos dépendances, de la répartition de nos émissions. Certaines choses sont aujourd’hui beaucoup plus tangibles, comme notamment l’importance de notre scope 3 (autour de 90%) sur lequel nous devons agir rapidement.
Cela a, je pense, constitué un début de prise de conscience des employés sur l’impact environnemental des entreprises. Mais nous ne sommes encore qu’au début du chemin.
Il nous semble important d’engager nos partenaires avec lesquels nous travaillons, notamment pour pouvoir réduire les émissions de notre scope 3. Par ailleurs, nous avons rejoint en février dernier le Board Impact. C'est un comité qui ambitionne de favoriser les bonnes pratiques et de rendre l’écosystème start-up français plus divers, mixte et conscient de son impact environnemental. Aussi, en avril dernier, nous avons décidé de signer le Climate Act. C'est un engagement de plus de 250 entreprises, start-ups et scale-ups, de :
Si notre notoriété peut aider à faire connaître cette initiative, nous en sommes fiers !
C’est parce que l’humanité a hésité et titubé depuis que nous sommes conscients scientifiquement de l’impact des activités humaines sur la concentration de CO2 atmosphérique que nous nous retrouvons dans une impasse au niveau mondial. Les perturbations climatiques que nous commençons à observer sont globalement toutes irréversibles. Nous n’avons plus le temps d’hésiter !