Créé en 1933, le groupe utb est composé de 1200 salariés et est un acteur majeur du second œuvre en Île-de-France.
Présent dans toute la France, notre expertise s’exerce sur 13 corps de métiers complémentaires. Nous intervenons sur des chantiers de construction ou de rénovation et nous proposons nos services pour l’entretien, le dépannage et la maintenance des bâtiments.
Nous avons initié notre démarche RSE en 2012. Celle-ci est évaluée par l’AFNOR depuis 11 ans.
Dans notre secteur, où le turnover est important, la fidélisation de notre personnel est un enjeu fort. La satisfaction de nos clients est quant à elle au cœur de nos priorités.
L’évolution de la réglementaire a été un des moteurs pour enclencher cette démarche. Cependant, nous avons toujours voulu aller au-delà en incluant, bien avant que cela soit obligatoire, des éléments du scope 3.
Depuis 12 ans que nous réalisons un bilan carbone, nous avons pu voir l’intérêt de nos parties prenantes grandir.
Nous avons choisi Carbo pour l’offre qui est didactique, facile d’accès et financièrement cohérente par rapport au service de qualité qui est offert.
Votre discours empathique, déculpabilisant, et la compréhension de nos enjeux, nous ont confortés dans notre choix. Effectuer un bilan carbone avec un scope 3 comprenant toute la chaîne de valeur est une aventure épique ! Carbo a été d’un grand soutien lors de la réalisation de la collecte des données.
Tout d’abord, la convivialité de l’outil et son accessibilité.
Ensuite, le sérieux de l’accompagnement et l’empathie dont à fait preuve toute l’équipe de Carbo.
Enfin, l’équilibre coût/service rendu qui est aussi un de vos atouts majeurs.
Vous souhaitez calculer l'empreinte carbone de vos opérations ?
Découvrez gratuitement la plateforme de Carbo, sans limite de temps 👇
Nous avons une direction QSE RSE qui compte 4 collaborateurs.
L’un de nos piliers principaux est le volet social. Nous axons notre politique sur la promotion interne et le partage de la valeur. En tant que société coopérative, notre modèle se veut responsable et vertueux.
Pour nos salariés, nos publications internes nous ont permis de présenter notre bilan carbone. Prochainement, nous allons transmettre notre plan d’actions par la même voie.
Pour le communiquer en externe, nous allons communiquer via notre rapport extra-financier.
Nous suivons un indicateur au niveau de l’attractivité des postes et de la stabilité des équipes : le taux de recrutements via notre système de cooptation.
Au niveau environnemental, nous suivons le taux de valorisation de nos déchets.
Au niveau sociétal, nous faisons la liste de nos engagements auprès de nos parties prenantes externes. À travers notamment nos mandats, nous sommes impliqués dans de nombreuses instances extérieures. Nous avons également un indicateur relatif à notre politique d’achats qui reprend les résultats de l’enquête envoyée à nos principaux fournisseurs, prestataires et sous-traitants.
Les propositions d’actions pour diminuer nos émissions sont concrètes et chiffrées. Il n’y a plus qu’à passer à l’action.
Nos parties prenantes vont mieux connaître notre impact environnemental et ce que l’on fait pour s’améliorer. Nous sommes dans le concret et c’est très dynamisant et motivant.
Cela demande du temps et donc des moyens humains. De plus, nos fournisseurs n’ont pas toujours les données dont nous avons besoin.
Se féliciter de faire son bilan carbone, car ce n’est pas un exercice simple.
Il faut aussi s’y prendre le plus tôt possible pour ne pas être contraint par des objectifs de réalisation réglementaires ou internes.
Le dernier conseil que je pourrais donner, c’est d’accompagner au mieux sa chaîne de valeur. Les fournisseurs ont besoin de comprendre l’intérêt de cette démarche et leur rôle indispensable dans la transmission de données.
Toutes les parties prenantes nous imposent de plus en plus une transparence sur les impacts environnementaux de nos activités et c’est légitime. Il ne faut pas avoir peur de se confronter à la réalité de son bilan carbone. Même si cet exercice ne paraît pas simple, Carbo sait très bien comment nous accompagner. Il faut désacraliser le bilan carbone car la première fois est plus compliquée que les suivantes.