Yespark est un service qui permet de louer une place de parking au mois, facilement et sans engagement. Avec le soutien de ses partenaires propriétaires, Yespark participe activement à résoudre les problèmes de stationnement en zone urbaine grâce à sa technologie et son offre de 45 000 places de parking en France, en Italie et aux Pays-Bas.
Depuis la création de Yespark en 2014, ces sujets sont au cœur de nos préoccupations. Ils font partie intégrante de notre ADN et de notre mission. De par notre activité, vertueuse pour la transition écologique, nous participons activement à la compensation carbone mais pour autant, nous n’avions jamais pris le temps d’analyser ce que l’on coutait à la planète en termes de CO2, et de fait nous étions incapables de dire quelle était la balance entre le bilan de notre activité et la compensation liée à notre activité.
Comme je l’évoquais précédemment, notre engagement ne date pas d’aujourd’hui. Depuis le départ, nous aspirons à avoir un impact fort et positif sur l’environnement qui nous entoure.
Grâce à nos partenaires, nous avons déjà pu trouver 45 000 places vacantes soit autant de places qui aurait pu être construites en béton, le pire matériau en termes d’impact écologique.
Néanmoins depuis 2014, la situation s’est encore aggravée et cela nous encourage à redoubler d’efforts pour encore améliorer notre impact positif.
C’est aussi pour cela que nous voulons résoudre aujourd’hui un autre problème posé à la ville de demain : la transition vers la mobilité électrique et le problème posé par la recharge des véhicules électriques.
Face à la démultiplication des initiatives de l’industrie et des aides ou contraintes des institutions, le problème persiste. Comment va-t-on recharger demain les 7 millions de véhicules électriques qui seront sans domicile fixe ? A notre échelle, pour tenter d’y remédier, nous voulons déployer 25 000 bornes de recharge, en ville, dans les parkings que nous opérons avec nos partenaires.
Ceci afin de rendre le quotidien des citadins plus propre, plus sain et plus vivable.
Le 1er enseignement est que nous ne pensions pas que nos dépenses en termes de marketing digital pouvaient autant peser sur notre bilan carbone. C’est une énorme surprise pour moi, et cela exige pour demain une nouvelle réflexion et un challenge majeur sur comment demeurer visible sans pour autant capitaliser sur ces investissements marketing, nocifs pour l’environnement.
Le 2ème enseignement est que les bureaux représentent une part significative de notre bilan carbone. La révolution des modes de travail, et notamment le recours massif au télétravail sont de bonnes choses pour la transition écologique. Moins de trajets, des bureaux plus petits, et moins d’énergie consommée sont autant de petits pas qui vont dans le bon sens.
Au départ, j’ai été étonné et surpris par la simplicité et la rapidité de l’onboarding de l’outil. Après l’avoir utilisé et recueilli les impressions des équipes, j’ai rapidement été rassuré. La rapidité de l’Onboarding s’explique par l’extrême simplicité d’utilisation de l’outil. C’était donc un très bon signe ! ☺
Concernant la réduction de nos émissions de CO2, nous comptons poursuivre et intensifier les efforts que nous entreprenons déjà depuis 2014. Nous avons l’intention d’informer nos partenaires et de communiquer à la presse sur notre bilan carbone tout en évoquant l’impact positif de notre activité en termes de compensation carbone, ceci afin que chacun puisse apprécier notre impact positif.
Aller voir la mer de glace à Chamonix et observer le recul de 2,5km de longueur sur 200 mètres d’épaisseur depuis 1856.